Orange et la FFF s’associent à Bodyguard afin de proposer aux équipes masculines, féminines et espoirs de la Fédération Française de Football (FFF) ainsi qu’au staff qui les accompagne, une solution de protection contre les messages toxiques en ligne, reçus notamment lors des grandes compétitions sportives internationales.
Cette initiative s’inscrit dans la continuité de #ForGoodConnections qui labellise l’engagement de longue date d’Orange pour un monde digital plus sûr.
Lors de UEFA EURO 2020, près de 50% des footballeurs ont reçu des messages de haine sur les réseaux sociaux.
La Coupe du Monde féminine de la FIFA 2023™ a également révélé que plus d’une joueuse sur cinq a été la cible de messages insultants, discriminatoires ou menaçants (rapport de la FIFA 2024).
Face à ces constats, Orange et la FFF réaffirment leur engagement contre les violences en ligne et le cyberharcèlement en s’associant à Bodyguard. Grâce à sa technologie basée sur l’intelligence artificielle et son expertise humaine, Bodyguard s’est rapidement imposée comme la solution la plus performante en termes de détection, d’analyse et de modération des contenus illicites notamment pour les institutions sportives ou encore les plateformes social média.
Pour Orange, partenaire de longue date de la Fédération Française de Football (FFF), et dans la continuité des actions déjà menées conjointement sur le sujet de la sensibilisation aux bons usages du numérique et aux risques de cyberharcèlement, «il était naturel de proposer cette solution aux joueurs et joueuses de haut niveau afin de leur permettre de vivre sereinement ces compétitions et de se concentrer sur leurs matchs», souligne le Groupe Orange dans un communiqué de presse.
Cette initiative vise également à protéger leurs communautés en ligne et à faire de ces grands événements sportifs des moments de célébration populaires exempts de haine.
«Elle s’inscrit pleinement dans le plan d’Engagement sociétal de la Fédération Française de Football, en particulier la lutte contre toutes les formes de violences et de discriminations», explique encore Orange dans son communiqué.