Des détenus qui appellent leurs proches, diffusent des vidéos sur les réseaux sociaux ou encore commanditent des actions à l’extérieur depuis leurs cellules: l’administration pénitentiaire est bien en peine de lutter contre la prolifération des téléphones portables, pourtant interdits en prison. La récente affaire de narchomicides à Marseille a remis en lumière…
Le contenu de cet article est payant..
Pour voir cet article, vous devez l'ajouter à votre panier.
Cliquer sur le bouton "Ajouter au panier" ci-dessous
4.50 €Ajouter au panier