La part du grand emprunt national dévolue au développement du numérique se positionne «dans l’investissement, pas dans la subvention», a déclaré mardi à Rennes la secrétaire d’Etat Nathalie Kosciusko-Morizet en charge du dossier. «On investit et on cherche un retour sur investissement pour l’Etat et pour la Nation», même si «on n’est bien évidemment pas sur les mêmes taux de rendement que le privé», a-t-elle expliqué en marge d’une visite de terrain destinée à exposer «le discours de la méthode» aux porteurs de projets.