Le festival Varilux du film français s’est ouvert jeudi à Rio et dans 50 villes du Brésil où il devrait attirer plus de 110.000 personnes avec 16 films à l’affiche pendant une semaine, a indiqué Christian Boudier, producteur du festival.
«Le festival est l’un des plus attendus du public brésilien et l’un des plus efficaces pour promouvoir la culture et l’image de la France au Brésil», a souligné M. Boudier, directeur du festival. C’est le long métrage «Samba» d’Olivier Nakache et Eric Toledano qui a donné le coup d’envoi au festival à Rio, en présence de toute la délégation artistique du festival : Emmanuelle Bercot, Martin Bourboulon, Patrick Bruel, Phillippe de Chauveron, Audrey Dana, Noom Diawara, Anne Fontaine, Pio Marmai, Tahar Rahim et Cécile Telerman. Dans la programmation figurent «Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu?», de Philippe de Chauveron, la comédie championne d’entrées en France en 2014 avec plus de 15 millions de spectateurs, «Gemma Bovery» d’Anne Fontaine, «Papa ou Maman», de Martin Bourboulon, et «Astérix et le domaine des Dieux», de Louis Clichy, entre autres.
Dans le cadre des commémorations des 450 ans de la fondation de Rio, le festival présente également un grand classique : «L’homme de Rio» (1964), de Philippe de Broca, avec Jean-Paul Belmondo et Françoise d’Orléac. Des rencontres professionnelles franco-brésiliennes se dérouleront à Rio sur des thèmes comme la diffusion commerciale en salle, les nouvelles possibilités de diffusion des films et la diffusion des films à la télévision.