Téva et Paris Première sont de retour à la 34ème édition du Sunny Side of the Doc. L’occasion pour média+ d’évoquer l’importance du genre documentaire avec Catherine SCHÖFER, Directrice Générale de Paris Première et Téva.
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Téva et Paris Première sont de retour au Sunny Side of the Doc. Quel bilan tirez-vous de votre première participation en 2022 ?
Catherine SCHÖFER
Je suis très heureuse d’avoir pu mettre un coup de projecteur sur notre offre documentaire lors de l’édition 2022 du Sunny Side of the Doc. J’ai ressenti un vrai intérêt des professionnels pour notre ligne éditoriale. Cette saison, nous avons ainsi reçu davantage de proposition spontanée. Cette année encore, nous allons continuer d’exposer notre offre et d’aller à la rencontre des professionnels.
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Que représente le genre documentaire sur Téva et Paris Première ?
Catherine SCHÖFER
Nous faisons partie des chaînes généralistes de l’univers payant ayant le plus de productions en matière de documentaire. Nous avons entre 12 et 15 documentaires inédits par an et ce, sur chacune de nos chaînes. Nous n’avons pas de cases dédiées à ce genre. Chaque film est traité comme une pépite que nous allons mettre en avant dans la meilleure case possible. À noter que sur Téva, 80% de nos documentaires sont réalisés par des femmes.
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Documentaire toujours, quels sont les prochains temps forts sur vos antennes ?
Catherine SCHÖFER
Dénicheuse de talents derrière et devant l’écran, Téva s’attache à mettre la femme au cœur de son projet. Ainsi, on peut voir sur Téva des documentaires avec des témoignages forts et émouvants, comme ceux recueillis par Anne Cutaia dans son film «Ménopositive !» (52’ – CPB), et des documentaires courageux comme celui de Lise David qui brise les tabous pour dénoncer les abus et les violences subies par les femmes dans «Écartez les jambes : enquête sur les violences gynécologiques» (52’ – C Productions). C’est aussi Lise David qui explore les transformations des rapports femmes-hommes dans «Séparés, mais ensemble» (52’ – Paramonti). Avec «Greffer la vie» (52’ – TV Presse & StudioFact MediaGroup), sur un thème universel comme la maternité, Charlotte Lavocat célèbre les avancées de la science.
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Qu’en est-il pour Paris Première ?
Catherine SCHÖFER
Dans les genres traités, Paris Première est fidèle à son éclectisme et va tout autant diffuser des portraits d’artistes, que des documentaires autour du cinéma, de la mode, de la politique, de la gastronomie, du monde de la nuit, et toujours avec un angle différent et singulier, quel que soit le sujet traité. Nous proposerons cette année un portrait de Daniel Prévost, pionnier de l’irrévérence et de l’absurde, avec le documentaire «Bande de ringards !», et un film sur l’indomptable Jean-Pierre Mocky : «Foutraque !» (52’ – Beall Production). Citons aussi le documentaire «Régimes présidentiels» (52 – TV Only) ou encore «Dis-moi ce qui te fait rire, je te dirai pour qui tu votes !» (52’ – Label Image).
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Quel bilan tirez-vous de vos audiences ?
Catherine SCHÖFER
Que ce soit sur nos acquisitions ou nos productions, nous avons signé de belles audiences cette saison. Sur un plan plus général, alors que la saison n’est pas encore finie, Paris Première est en passe de signer un record cette saison. Concernant Téva, notre changement de stratégie élaborée il y a 3 ou 4 ans s’avère positif. Je suis très contente de la performance de ces deux chaînes.
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Laurent Ruquier sera-t-il renouvelé sur Paris Première ?
Catherine SCHÖFER
Laurent Ruquier est arrivé sur Paris Première en octobre 2022 avec «Club Première». Concernant notre grille de rentrée, je garde encore mes annonces secrètes.
