Le Syndicat général du Livre et de la communication écrite (SGLCE-CGT) a appelé mercredi dans un communiqué à une suspension provisoire de la grève entamée la veille, qui a entraîné la non parution des quotidiens mercredi matin. L’arrêt de travail de 24 heures avait été lancé mardi par le SGLCE-CGT, qui représente une partie des ouvriers des imprimeries de la presse parisienne, en raison d’un désaccord sur «un texte sur la modernisation des imprimeries prévoyant un volet de formation mais qui est utilisé essentiellement pour justifier des licenciements».